Press about of the restaurant
La Bastide Odéon
L'avis du Petit futé sur LA BASTIDE ODÉON
Petit Futé
Chez Pascal Mousset, la balade gourmande est inévitablement tournée vers le soleil du Sud, celui de la Riveira, avec notamment un consommé chaud de tourteau au pistou ou une anchoïade de saumon cru et salade tiède de pommes de terre ratte qui précèdent les classiques pieds et paquets d’agneau à la provençale ou des penne Rigate épicés à la soubressade et aux olives...
Parfums méditerranéens
TV magazine

Repris par Pascal Mousset, La Bastide Odéon
a ouvert autour de sa nouvelle équipe en janvier 2011. Pas de réel changement côté décor, mis à part la création d’un salon de quinze couverts au premier étage, l’arrivée de chaises et de banquettes en cuir rouge. L’ancien propriétaire, Gilles Ajuelos, qui se consacre désormais à son restaurant La Marlotte (Paris VIe) a, pendant seize ans, construit la réputation de cet établissement sur une cuisine aux saveurs méditerranéennes…toujours d’actualité. Millefeuille tiède aux aubergines grillées
Des prix très corrects pour des tables nappées de blanc et une cuisine de saison, fraîche, parfumée, généreuse. Nous avons apprécié le gros calibre des asperges blanches des Landes saupoudrées d’œuf cassé (émietté) façon gribiche (supplément 5 euros) suivies par un mille feuille tiède aux aubergines grillées, un foie de veau poêlé, purée de courgettes aux graines de cumin, un sorbet citron au limoncello et calissons d’Aix. Yann Bailleul dirige l’endroit à merveille. Ce fidèle collaborateur de Pascal Mousset l’a accompagné durant sept ans dans toutes ses ouvertures de restaurants (Chez Françoise, La Table du Sénat, Apollo aujourd’hui dans le giron du Café d’Oz, Le Petit Marguery…). Les vins sont accessibles, surtout ce coteau d’Aix-en-Provence rouge du Domaine Saint-Julien-des-Vignes 2008 à 20 euros. Si les deux niveaux sont agréables, l’étage, longé par des fenêtres dont l’une donne sur le jardin du Luxembourg, nous a davantage séduits. »
La nouvelle Bastide Odéon est arrivée (Paris 6e)
Les Pieds dans le plat

C’est la même maison et c’est une autre, proche du Théâtre de l’Odéon et du Sénat. Gilles Ajuelos lui a avait donné son air de bistrot provençal un brin néo-années 1950. Avec son escalier en fer forgé, ses salles nombreuses, dont un salon pratique pour une quinzaine de couverts, la demeure garde son confort bonhomme. Aux commandes désormais: Pascal Mousset. Cet ancien du groupe Flo est devenu un petit magnat de la restauration parisien, regroupant Françoise dans l’aérogare des Invalides, la Marée de la rue Daru, le Petit Marguery dans le 13e, plus la table du Sénat.
Si cette dernière table n’est ouverte qu’aux sénateurs et à leurs invités, cette Bastide-ci propose chaque midi un menu dit parlementaire qui fait une belle affaire pour tous. Aujourd’hui, pour 25 €, on se régalait de velouté de cresson au parmesan, avec son émincé de volaille, de Parmentier de boudin à la purée de céleri, plus un crumble aux fraises poêlées à la vanille avec sa glace caramel. Que du bon et du sage, parmi une dizaine de belles idées du jour. J’ajoute le menu un cran au-dessus (à 36 €) avec son anchoïade de saumon et salade de pommes de terre ou ses asperges des Landes, avec lomo et œufs cassés (avec 5 € de plus) avant le dos de cabillaud rôti avec des gnocchis et des blettes sautées à la sauge ou encore une jolie volaille fermière à l’ail confit avec pommes de terre à la peau de Villegagnon.
J’oublie le chablis de Brocard au verre, le joli irancy fruité comme l’onde (à 29 € le flacon), le millefeuille traditionnel, fin, géant, craquant avec sa crème légère à la vanille Bourbon. Bref, du bon, du sérieux, du généreux, sur lequel veille un service attentif et appliqué, veillé par les sourcilleux Yann Bailleul et Fabien Moglia, qu’on vit au Montparnasse 25, tandis que le jeune Romain Gervasoni, formé ici même, continue en cuisine le registre provençal ici coutumier non sans rigueur. Voilà une bonne pioche à renoter sur son carnet fétiche.
Cuisine provençale, 6e
Télérama Sortir
Cette institution provençale a été reprise il y a trois mois. Après quelques rafraîchissements, la voilà prête à nous recevoir. J’y découvre une carte variée, à laquelle s’ajoute l’économique menu parlementaire, histoire de ne pas grever le budget de l’Etat. Nous entamons un millefeuille tiède aux aubergines grillées et une anchoïade de saumon cru (label Rouge) et salade tiède de rattes. Le millefeuille est savoureux et le saumon autour de rattes tièdes convainc tout autant. Nous poursuivons par une belle et tendre volaille fermière rôtie à l’ail confit et pommes de terre et une bourride à la sétoise mêlant daurade, mulet et lotte dans une soupe épaisse et, à côté, aïoli entouré de ses gardes du corps : les croûtons. Côté bourride, si les poissons et la soupe vont bien, l’aïoli mérite d’être amélioré. Fin sur un bon millefeuille et un café. Cette Bastide perfectible est sur le bon chemin, avec un vrai bon rapport qualité-prix.
Par R.Z. 15/01/2011
Bastide Odéon
Zagat
This “contemporary” bistro in the 6th is popular with Americans in-the-know, so much so, they “tend to be seated together” – some say it’s to ensure we have an English-speaking server, while a cynic might surmise we’re being hidden from the locals”; tables aside, voters split over this Southern French : fans find the cuisine and “pleasant atmosphere” in the red-and-yellow rooms are “almost as good as a trip to Provence”, but others shrug it’s “a standby, not a destination.”
Changement de propriétaire au 1er janvier 2011
Le Guide France
Déjà propriétaire de La Marée, de Chez Françoise et du Petit Marguery, Pascal Mousset est désormais aux commandes de la Bastide Odéon, qu’il a rachetée à Gilles Ajuelos en ce début d’année. Des rénovations et aménagements sont en cours, Romain Gervasconi étant désormais aux fourneaux.
Privatization and Capacity
Capacity : 120 persons
Private room : from 16 to 40 persons
Services of the restaurant La Bastide Odéon

Air conditioning

Bookings

Private room

Maîtres Restaurateurs