Dénichez instantanément le restaurant Paris qui correspond à votre envie du moment : une terrasse animée dans le 8ème, un vieux bistrot dans son jus, un restaurant chic et branché ou le calme d'un jardin en plein cœur de la capitale...
Dans le 16ème arrondissement de Paris, le restaurant design Bon vous propose une carte d'inspiration "world food" où dominent les saveurs asiatiques, à déguster dans un splendide décor signé Philippe Starck. Niveau ambiance, vous avez le choix entre plusieurs univers : la salle "vinothèque" et son immense baie vitrée, l'intimiste boudoir, la chaleureuse salle "cheminée", la salle "bibliothèque" tapissée de livres et d'étagères démesurées en trompe-l'oeil et, pour les amateurs, le confortable et surprenant fumoir.
Entrées : Tartare d'avocat, mangue et saumon / Aubergine laquée, sauce Miso / Nems poulet / Fois gras de canard frais, chutney de mangue / Saumon new style
Plats : Dorade en feuille de bananier, coco, citronnelle / Poulet croustillant "sweet and sour" / Riz, tartare de thon et saumon / Pad thaï végétarien / Poulet pad thaï / Cabillaud vapeur, sauce Tom Yam / Boeuf hâché basilic, piment
Desserts : Panna cotta fraise, rose et litchi / Petit baba, rhum, ananas / Assortiment de minidesserts / Crème citron, biscuit crumble / Nems chocolat, sauce crème anglaise
« Après une expérience dans des restaurants étoilés comme le "Méridien Montparnasse 25" (1* Michelin) ou l’"Atlandide" à Nantes (1* Michelin) et quelques années aux commandes des cuisines de Michel Rostang (2* Michelin), puis dans le Groupe Jean Richard comme Chef général des 6 cuisines, Yannick Papin confirme sa prestigieuse réputation "chez Bon" où sa cuisine prend inspiration en Asie pour travailler des produits du monde entier. »
“Designed by Philippe Starck, BON restaurant is the ideal setting for stylish dining makes offers an unforgettable experience. The refined cuisine of Yannick Papin and the various dining rooms each with their own ambiance make for an unforgettable experience."
Vous êtes à Paris. Il fait beau. Vous cherchez un endroit où déjeuner. Décor amusant et cuisine irréprochable ? Menu à 25-30 € ? Pourquoi ne pas tester Bon ? C’est vraiment bon !
« Redécouvrir un quartier méconnu de Paris
Nichée entre Passy et l’avenue Victor-Hugo, le bois de Boulogne et les Champs-Élysées, cette partie du 16e arrondissement de Paris regorge de charmes cachés, tels ses jardins fleuris, ses petites boutiques et ses façades d’immeubles magnifiquement sculptées et mosaïquées.
Au départ du métro La Muette (à deux pas de l’un des meilleurs glaciers de Paris, rue Bois-le-Vent), vous remonterez donc la rue de La Pompe jusqu’au numéro 25. Là, une immense baie vitrée de 10 m de long s’exhibe, surmontée d’un dôme, dans une rue peut-être pas si sage qu’elle en a l’air…
Une déco jubilatoire
Situé dans les murs de ce qui fut naguère l’un des plus chics fleuristes de la capitale, Bon a été relooké par le designer Philippe Starck, dont l’inspiration s’est en partie nourrie des films de Stanley Kubrick : galerie des glaces, mitraillettes dorées, banquettes noires, buvette blanche et impeccable en Inox…
La première salle, lumineuse, fascine par ses pierres apparentes et sa hauteur. Starck s’est amusé à tapisser les murs de grands panneaux de cuir molletonné et à aligner des bergères de style Louis XV au fond desquels on peut se dissimuler.
À l’étage, bibliothèque, cheminée, fumoir, Chesterfield en cuir blanc et tête de rhinocéros évoquent la côte est américaine.
Une cuisine sage, BCBG
Vous l’avez compris, Bon est un restaurant où l’on se donne (avant tout) rendez-vous pour voir et être vu. On y croise Éric Cantonna, Thierry Lhermitte, quelques grands patrons du CAC 40 et, bien sûr, Philippe Starck en personne.
La cuisine d’inspiration asiatique réalisée par Yannick Papin (ancien chef étoilé de l’Atlantide à Nantes) n’a pourtant rien de superficiel. Lefoie gras de canard au chutney de mangue est impeccable. Les parfumées noix de Saint-Jacques poêlées au lait de coco, au gingembre et à la coriandre passent comme une lettre à la poste, accompagnées d’un bol de riz blanc cuit à la vapeur (tout simplement). Au dessert, le petitbaba au rhum et à l’ananas se dévore goulûment. Les portions ne sont pas énormes, mais il paraît qu’il vaut mieux avoir encore un peu faim quand on sort de table (dixit les centenaires chinois)…
Trente euros l’ensemble avec une demi-bouteille d’eau gazeuse ou un verre de chablis bio : que demande le peuple ? »