Dénichez instantanément le restaurant Paris qui correspond à votre envie du moment : une terrasse animée dans le 8ème, un vieux bistrot dans son jus, un restaurant chic et branché ou le calme d'un jardin en plein cœur de la capitale...
A deux pas du Marais et des bords de Seine, au pied de l'église Saint-Gervais dans le 4ème arrondissement, Chez Julien vous accueille dans une ambiance rétro. Dans ce décor bistrot année 1900, vous pourrez déguster des ris de veau ou une brioche perdue tout en profitant d'une atmosphère feutrée et intimiste à la lumière des chandelles. En terrasse, que ce soit aux beaux jours ou en hiver puisqu'elle peut être chauffée, vous apprécierez le charme des rues pavées arborant le restaurant ainsi que la vue sur l'Ile Saint-Louis.
« Genre : Reprise en sourdine, l'été dernier, par Thierry Costes (Hôtel Amour) et Alex Chapon (Bistrot Vivienne), cette romance de restaurant revient, après quatre mois de travaux. La Belle Époque du décor retrouve un sourire et la cuisine du nouveau chef tient gentiment la chandelle.
Avec qui : Une printanière.
Prix : Env. 35-50 €. Terrine maison : pas déplaisante. Bavette à l'échalote : belle pièce. Brandade de morue gratinée : moins le gratin, tout irait bien.
Bonne Table : En terrasse, l'une des plus réussies de la nouvelle saison. Service plein de vie. »
« Si l’on n’y avait pas mangé le plus moelleux morceau de volaille fermière (rôtie avec de délicieuses pommes de terre nouvelles de Noirmoutier) depuis une paie, on se serait demandé ce qu’on faisait dans ce boudoir chic. Presque deux heures à tuer le temps en comptant l’entrée (une gentillette salade riquette, ibaiona, figues fraiches), mais en zappant le dessert convoité (une crème brûlée amaretto et cerises), en tête à tête avec un verre de côtes-du-rhône Domaine La Réméjeanne (5 €), ça laisse le loisir de mémoriser le décor en place depuis 1780, faire du ménage dans ses mails non lus, compter les autos rouges qui passent dans la rue, etc. Alternative vivable : s’attabler en terrasse par une chaude soirée de juin avec un homard entier en salade, une bouteille de Ruinart et un(e) camarade en pleine forme. »